La LOI n°2010-625 du 9 juin 2010 - art. 6 stipule :
L'agrément de l'assistant maternel précise le nombre et l'âge des
mineurs qu'il est autorisé à accueillir simultanément ainsi que les
horaires de l'accueil. Le nombre des mineurs accueillis simultanément ne
peut être supérieur à quatre y compris le ou les enfants de moins de
trois ans de l'assistant maternel présents à son domicile, dans la
limite de six mineurs de tous âges au total. Toutefois, le président du
conseil général peut, si les conditions d'accueil le permettent et à
titre dérogatoire, autoriser l'accueil de plus de quatre enfants
simultanément, dans la limite de six enfants au total pour répondre à
des besoins spécifiques. Lorsque le nombre de mineurs fixé par
l'agrément est inférieur à quatre, le président du conseil général peut
modifier celui-ci pour augmenter le nombre de mineurs que l'assistant
maternel est autorisé à accueillir simultanément, dans la limite de
quatre mineurs et dans les conditions mentionnées ci-dessus.
Le nombre d'enfants pouvant être accueillis simultanément fixé par l'agrément est sans préjudice du nombre de contrats de travail, en cours d'exécution, de l'assistant maternel.
L'agrément initial de l'assistant maternel autorise l'accueil de deux enfants au minimum, sauf si les conditions d'accueil ne le permettent pas. Le refus de délivrer un premier agrément autorisant l'accueil de deux enfants ou plus est motivé.
Les modalités du contrôle auquel sont soumis les assistants maternels sont définies par décret en Conseil d'Etat.
Le nombre d'enfants pouvant être accueillis simultanément fixé par l'agrément est sans préjudice du nombre de contrats de travail, en cours d'exécution, de l'assistant maternel.
L'agrément initial de l'assistant maternel autorise l'accueil de deux enfants au minimum, sauf si les conditions d'accueil ne le permettent pas. Le refus de délivrer un premier agrément autorisant l'accueil de deux enfants ou plus est motivé.
Les modalités du contrôle auquel sont soumis les assistants maternels sont définies par décret en Conseil d'Etat.