Je suis un peu (beaucoup) agacée (énervée) je l'avoue.
Cet après-midi se tiendra notre assemblée générale. Bon nombre d'entre nous seront présentes, nous devrions battre des records malgré la neige et le froid.
Je ne pouvais recevoir mes collègues sans information à leur donner au sujet du RAM, étant donné que les derniers entretiens Candidats / PMI / CAF devaient avoir lieu fin janvier.
Comme à chaque tournant que prennent les aventures du RAM, j'ai donc téléphoné au Syndicat des Hautes Terres d'Oc. Pour rappel les dernières audition de candidats devaient avoir lieu fin janvier (voir plus bas).
Je me suis présentée comme Sophie De Oliveira, assistante maternelle à Roquecourbe, comme d'habitude et Mme X (qui ne s'est pas présentée) m'apprend que "nous serons informées" sur un ton... que j'ai interprété comme étant plat et boudeur.
Comme j'ai parfois la phrase maladroite, j'ai fais remarquer à mon interlocutrice qu'"elle n'avait pas l'air emballé" (notez que je vous cite la discussion telle qu'elle a eu lieu, vous allez comprendre pourquoi !).
Et j'apprends donc que nous sommes lues ! Mais c'est magnifique ! Sauf que le contenu ne plait pas, je cite encore "nos conversations ont été relayées sur votre blog et elles sont parfois sujettes à interprétation".
Et donc "ça ne plait pas, ni à nous ni à d'autres" (bon j'avoue j'ai oublié si elle m'a dit qui sont les autres...).
L'expression "sujette à interprétation" me laisse perplexe : ai-je mal reporté ses propos ? Est-ce que ce sont les personnes qui ont lu le blog qui les ont mal interprété ?
Vu le peu de mot qui sont sortis de la bouche de mon interlocutrice je n'ai pas la réponse... Dans le deuxième cas je dirai que c'est la liberté de penser, c'est d'ailleurs pour cela que j'ai justement reporté nos conversations, sans porter de jugement...
Je l'ai quand même invité à me rectifier, je déteste penser que j'ai pu relayer une fausse information, et si j'ai malgré moi tourné une phrase de sorte qu'elle porte à confusion, ou qui reflète trop ma pensée, je n'hésiterai pas à la supprimer ou à la rectifier !
Sauf que la dame n'a pas d'exemple à me donner (du moins elle n'a rien dit, est-ce que j'interprète mal ?)
J'ai repassé la rubrique "le RAM" de ce blog sans relever d'erreur ou autres commentaires susceptibles d'être mal interprétées.
Reste nos comptes-rendus de rencontres, j'ai écrit dans celui de janvier 2015 :
"Sophie a téléphoné aux Hautes Terres d'Oc, elle a été informé que 2
candidats ont été sélectionnés par la CAF et 2 par la PMI, ce qui nous
laisse entendre qu'il ne s'agit pas des mêmes personnes.
Un ultime
entretien est prévu à la fin du mois bien que la date n'ai pas encore
été fixée. Cet entretien devrait permettre aux instances présentes de
choisir un candidat, à moins qu'il faille par ces mots comprendre que
CAF et PMI ne sont pas d'accord ? Dans ce ces nous allons encore vers
une impasse...
A la question "les rencontres reprendraient donc en février", la réponse
est qu'il n'y a plus de local pour le futur animateur(trice). La mairie
de Brassac, lieu du siège du RAM, doit en trouver un autre,
obligatoirement en rez de chaussée, à suivre..."
Dans cet article des doutes sont émis et ils sont précédés de "ce qui nous laisse entendre que" et "à moins que", donc je ne pense que tout le monde sait ce que veulent dire ces termes et donc je n'interprète pas, j’émets un doute, et même NOUS émettons un doute, légitime vu qu'on nous balade depuis plus de 3 ans maintenant et puis la langue française me donne raison, la tournure de phrase ne permet pas de dire s'il s'agit de 2 ou 4 candidats, et comme mon interlocutrice ne me dit pas où est ma faute... et de plus ceci n'est qu'un détail et une réaction à ce sujet "me semble" démesurée... bref...
En écrivant cet article le mois dernier je m'étais gardée de rajouter.... tellement de chose à rajouter en fait que je l'ai écrit dans ce fichier joint, pour ne pas surcharger cet article déjà long, les personnes intéressées n'auront qu'à cliquer.
J'aimerai comprendre pourquoi en tant qu'assistante maternelle j'ai eu droit à des réponses depuis 3 ans que j'appelle régulièrement, alors qu'en tant que présidente (ou membre) d'association, qui de ce fait doit informer ses membres de ce qui se passe dans notre profession, je n'ai plus droit à des réponses.
Sachez, madame "X", que ce sont les enfants qui pâtissent le plus de l'absence de RAM, nous avec notre association nous pallions à tout ce qui nous manquait depuis sa fermeture, c'est du moins mon point de vue et celui de quelques unes de mes collègues, pour ne pas dire toutes (attention à l'interprétation).
Si vous m'avez divulgué des informations que vous n'aviez pas le droit de partager, c'est vous qui avez mal fait votre job, moi je fais le mien !
A moins que vous ne m'ayez fait que du passage de pommade, comme on sait que ça se fait beaucoup en politique pour faire taire les gens, et moi je suis plutôt naïve donc si c'est le cas vous êtes bien tombée.
La dernière information reléguée par vos services date de décembre 2013, nous sommes alors informées qu'une animatrice est embauchée à la date du 2 janvier 2014.
Est-ce que vous vous rendez compte que depuis nous sommes sans aucune nouvelle ? Imaginez les collègues qui n'auront pas osé vous joindre et qui attendent patiemment chaque quinzaine dans le froid devant la porte de la salle ! (au cas où : ça c'est de l'humour !)
J'ai expliqué qu'en tant qu'association nous avions des projets en suspens car ils n'auront pas lieu d'être si reprise du RAM, on me dit "nous recherchons activement une animatrice" (ou un animateur... j'ai un doute), donc je réponds "donc les entretiens CAF - PMI n'ont rien donné ? pas de candidat sélectionné ?" réponse "je n'ai pas dit ça !"
Donc avec ça tirez les conclusions que vous voulez, moi je vois toujours le meilleur chez les autres, donc j'avoue ne pas avoir compris ce qu'il se passe, les plus pessimistes diraient qu'il n'y a jamais eu de candidat, ni d'intention réelle de rouvrir le RAM.
Si vous voulez vous faire la votre, je vous invite toutes à téléphoner au 05.63.74.01.29 , ce serait bien que l'on puisse avancer !
Madame X, si vous subissez de votre côté des pressions, je compatis, si on vous a demandé de garder le silence malgré vous, je vous fais mes excuses, mais comprenez qu'en l'état je ne pouvais interpréter celui-ci autrement...
Dans l'attente de réception de votre courrier d'information qui nous annoncera finalement..... allez supposons.... ...... oh et puis non !
Sophie De Oliveira
Présidente